Suite de nos déambulations de l'après-midi du vendredi.
- L'église Saint-Étienne, église baroque construite à partir de 1606 comme église du collège jésuite voisin, devenue église paroissiale en 1796.
- Le Palais Rihour où s'est installé l'Office du Tourisme. Construit au XV° par les ducs de Bourgogne, il n'en reste que quelques éléments (chapelle) suite à plusieurs incendies. C'est là qu'en 1846 eut lieu la première représentation de la cantate "Le Chant des chemins de fer", de Berlioz (paroles : Jules Janin), la seule de son vivant, à l'occasion de l'inauguration de la gare de Lille. Nous ne le visiterons pas : il faut parfois faire des choix.
- Au fil des rues, quelques façades d'un bel éclectisme.
Et puis, avant d'arriver à Notre-Dame de la Treille, une rue pittoresque qui m'a plu : la rue de Weppes située sur un ancien canal recouvert dans les années 30.
vendredi 18 octobre 2019
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2 commentaires:
Les maigres restes du palais Rihour en effet... c'est triste d'avoir collé le monument aux morts ici.
Cornus : et pas des plus discrets....
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