Restait, pour l'après-midi, le gros morceau du séjour : le musée des Beaux-Arts (1792). Nous avons pris les billets uniquement pour les collections permanentes, par pour la temporaire, et nous avons bien fait tant ce muse est immense et intéressant. J'apprends seulement aujourd'hui que son fonds initial fut constitué au lendemain de la Révolution des œuvres confisquées aux émigrés et aux institutions religieuses. Aujourd'hui, ce fonds compte 70000 œuvres, dont "seulement" 2000 visibles pendant la visite.
Près de trois heures de plaisir intense, même si, hormis au sous-sol avec les Antiquités, la "mise en lumière" de certaines salles ne favorise pas la photographie. Des photos, justement, j'en ai pris beaucoup, vraiment beaucoup. Pour ne pas finir par lasser (ce qui est peut-être déjà fait), je n'en présente ici qu'une petite sélection, montrant bien l'immense diversité de ce musée.
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| Annonciation, Anciens Pays, début XVI° |
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| François Milhomme, Hermaphrodite (1808) |
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| Brueghel le Jeune,Le Dénombrement de Bethléem (1605-1610) |
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| Détail |
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| Watteau de Lille, La Danse rustique ou le Concert champêtre (vers 1770) |
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| Amaury Duval, Femme de Saint-Jean-de-Luz (XIX°) |
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| Goya, Le Temps ou Les Vieilles (vers 1808-1812) |
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| En extase (longue). Chacun ses goûts ! |
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| Picasso, Olga au col de fourrure, 1923 |
2 commentaires:
Parmi ces photos, j'estime à au moins 80 % les œuvres que j'ai également photographiées (mais pas forcément montrées, mais il faudra que j'y pense). Il y a de quoi s'amuser dans ce musée, c'est sûr. Faudra qu'on y retourne, notamment pour revoir les plans en 3D, qui n'étaient pas visibles les dernières fois.
Cornus : nous ne sommes pas allés aux plans, pour cause de mal aux pattes !
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