dimanche 18 août 2019
Profession : dactylo.
Dans mon école primaire, je fus cette année-là le seul garçon à entrer en sixième.Avec moi, il y avait trois filles : l'une devint prof elle aussi, les deux autres sténo-dactylos, un métier très prisé dans les classes populaires à cette époque et qui disparut au début des années 90 lorsque les machines à écrire furent remplacées par les ordinateurs et les imprimantes. Mais l'on doit à l'une d'entre elles, Bette Nesmith Graham, l'invention du correcteur liquide utilisé longtemps au cours des études, même si, personnellement, j'avais interdit son emploi à mes élèves, préférant la rature qui laisse voir la faute, ce qui est toujours instructif.
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2 commentaires:
Dans le cadre professionnel, je n'ai jamais connu autre chose que les ordinateurs et les imprimantes... Mais durant mon service militaire, j'ai utilisé une machine à écrire électrique extrêmement basique (elle tapait les lettres au fur et à mesure) notamment pour taper quelques formulaires spécifiques dont des punitions (j'en avais ras la casquette de taper ces conneries).
Au collège et au lycée (et même au moins en partie à l'université), j'utilisais un stylo plume à encre bleue effaçable et nous avions des effaceurs et des feutres bleus qui permettait d'écrire par dessus. C'était un peu crasseux. Tu avais raison de préférer les ratures, c'est souvent plus propre et plus riche d'enseignements pour le correcteur.
Cornus : moi aussi, j'ai utilisé longtemps la machine à écrire. J'ai même encore, à titre décoratif, une vieille Remington noire comme on en voit dans les films policiers.
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