Un autre Connelly, mais assez différent. Los Angles bien sûr, mais aussi Las Vegas et ses casinos. Et pas trace de Harry Bosch, ni d'aucun inspecteur d'ailleurs. Tout se passe entre malfrats qui se battent pour des sacs remplis de dollars, chacun croyant piéger l'autre dans les rets de son plan.
Savant montage narratif : une partie pour chacun des deux personnages principaux, puis un chapitre chacun, puis une partie de chapitre, etc, jusqu'à la rencontre finale. Un peu déstabilisant au début, mais on comprend vite.
Et si ce livre n'a pas été écrit en pensant très fort à une adaptation cinématographique, je me fais ...... américain ?
(Michael Connelly, La Lune était noire. Ed. du Seuil. Trad. de Robert Pépin.)
lundi 5 août 2019
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