mercredi 7 août 2019
Musique et cinéma
1981 : une grande année ! Pour moi, d'un point de vue privé, le séjour à Pérouse en Ombrie et ce film de Béineix, sorti cette année-là.
Je me souviens de l'engouement du public (moins de la critique) pour ces images esthétisantes, mais surtout de la découverte de Catalani et de cet air de La Wally, "Ebben, ne andro lontana.come va l'eco della pia campana". Oubliées les tribulations du petit postier et de sa diva. Mais l'air, je ne l'ai jamais oublié !
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9 commentaires:
Merci de m'avoir rappelé Diva, précieux bibelot.
Même parcours que toi : découverte de l'air "Ebben ! Ne andrò lontana", puis, par curiosité, achat d'un enregistrement de La Wally.
Ce qui m'amuse dans cette sublime tragédie, c'est qu'elle se passe dans les Alpes tyroliennes. Mieux, Wikipédia vient de m'apprendre que l'air précité provient d'une "chanson groenlandaise" dont les paroles sont de Jules Verne.
Quelques années plus tard, ce fut Pérouse, ville qui me parut mystérieuse. Parce qu'elle n'était pas assaillie de touristes ? Là, je me méfie de moi-même, car les touristes, ce sont toujours les autres.
Pippo : non, tu as entièrement raison. Pérouse n'est pas une ville où affluent les touristes. Ils ont tort mais on s'en passe ! Et c'est une ville mystérieuse effectivement avec les vestiges souterrains de la Rocca Paolina et ce petit restaurant où j'allais parfois, souterrain lui aussi, qui s'appelait La Botte et où je prenais toujours un verre de vin blanc très frais de la région. Un délice !
Et puis ce son de violoncelle qui, la nuit, sortait de la muraille étrusque et dont j'ai une fois parlé dans ce blog. Au fait, en poursuis-tu la lecture ?
Oui. Bien sûr mais dans cet air, prière de ne pas oublié la più grande Magda Olivero....hein
Je connaissais l'air. Je trouve que l'enregistrement pose souci en termes de qualité.
Bien sûr, Calyste, je poursuis la lecture de ton blog. Que tu dis bien les êtres et les choses !
Il conduit à d'autres blogs de belle tenue : tu as d'excellentes fréquentations. Parmi elles j'ai eu la bonne surprise de rencontrer P. P. le Moqueur, dont j'ai vite reconnu le père, homme extraordinaire en effet.
Pour ne pas terminer par le banal "le monde est petit", je préfère revenir à Pérouse et préciser que pour moi son mystère est associé à une vague terreur, celle que répand la Chimère qui orne l’écu de cette ville.
Jérôme : je vais, de ce pas, me rafraîchir la mémoire.
Cornus : c'est celui du film.
Pippo : et moi, à Pérouse justement, j'ai connu le beau-frère du Daniel de ma liste de blogs (je ne le savais évidemment pas à l'époque).
Ce à quoi je tiens probablement le plus, dans mon blog, ce sont les Lettres à Pierre, écrites à partir de la mi-Août 2018. J'aimerais que tu me dises ce que tu en penses (mais en passant par mon adresse mails), si ça ne te déranges pas. Si ça te gêne, ne le fais pas. Merci en tout cas de continuer à me lire.
Lettres à Pierre : j'en commence la lecture. Te tiendrai au courant.
Pippo : merci.
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