En consultant le site des naissances et des morts du jour, je tombe sur Enid Blyton : elle était née le 11 août 1897 (et morte le 28 novembre 1968). Cette romancière britannique, c'est une part de mon enfance, avec sa série du Club des cinq (The famous Five, en VO) : Claudine, Annie, François, Mick et surtout le chien Dagobert, le seul dont le nom m'est resté sans l'aide d'internet.
C'était l'époque où j'accumulais (dans une vieille boîte à dragées) centime par centime la somme nécessaire pour acheter un livre de la Bibliothèque rose ou verte au bazar du village, à quelques kilomètres de là. J'y allais à pied, bien sûr, mais la perspective d'avoir un nouveau roman m'aidait dans la marche ! Je dois en avoir encore quelques-uns au fond de mes empilements. En plus, le prénom de cette anglaise me faisait rêver : Enid ! Avec un prénom pareil, on ne pouvait être qu'un grand écrivain !
Mais je n'oublie pas non plus mes autres passions de l'époque : Les six Compagnons, de Paul-Jacques Bonzon, qui se passaient à la Coix-Rousse à Lyon, la série des Michel, de Georges Bayard que j'ai rencontré vieux au collège où je l'avais invité pour les élèves (son épouse m'avait confié qu'elle avait sacrifié sa carrière de peintre pour l'assister). Ensuite, sans transition mais poussé par un professeur, ce furent Jules Verne puis Balzac et Zola. Aujourd'hui, c'est l'éclectisme absolu.
dimanche 11 août 2019
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2 commentaires:
Enid, tiens un nom gallois !
Karagar : comme quoi, je suis l'actualité...
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