Quand je dis que ça passe, ça passe, mais alors à une allure folle ! Au point de se demander où on trouvait le temps, avant, quand on travaillait.
A peine levé (bon, un peu tard, d'accord), la journée est terminée. Quelques courses, un rendez-vous chez le kiné, la visite d'une amie (Merci, Marie-Claire d'être passée, même rapidement : tu es si calme, ça me fait du bien), quelques coups de téléphone pour les vœux, le repas de ma mère, un détour chez Frédéric pour manger des cailles et une bonne galette maison à la frangipane (dont j'ai rapporté un morceau pour mon petit-déjeuner demain matin) et voilà.
Bon, après, il y a l'ordinateur, la lecture, le petit en-cas medianoche, la douceur des draps de coton, mais ça, c'est à moi tout seul, juste à moi, comme un point sur le i d'une journée bien agréable. C'est éprouvant, la vie de retraité ....
mardi 7 janvier 2014
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4 commentaires:
J'ai lu cette phrase aujourd'hui qui m'a pliée de rire : « Entre la prison et le chômage, je n’ai jamais eu le temps de travailler. » Extrait d'un recueil de perles du tribunal. Comme quoi on n'est pas les seuls à trouver que le temps passe trop vite. Rassurant, non ?
Pour les vœux, j'ai téléphoné à d'anciens collègues à la retraite. Tous ont cette même impression.
la galette maison : pâte comprise?
Karagar: of course, my dear !
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