Je récupère peu à peu des années d'abstinence cinématographique. Ainsi n'avais-je jamais vu Pulp Fiction, de Tarantino, pourtant sorti en 1994. Voilà qui est fait.
D'abord une petite appréhension vis à vis de Travolta qui n'a jamais été ma tasse de thé, mais appréhension bien vite balayée par le rythme du film, sa musique, son humour et son récit non linéaire. Wikipédia me dit qu'il s'agit d'un film postmoderne. Alors, vive le postmodernisme si tout y est de cette qualité.
mercredi 8 janvier 2014
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4 commentaires:
Ce film est extraordinaire car il casse le mythe du truand romantique/ tragédie grecque et tout le toutim
Pulp Fiction nous le démontre : Le truand est un con car s'il ne l'était pas il ferait autre chose... le moins con tentant en vain de réparer la connerie des autres...
C'est Jean-Pierre Melville qu'on assassine enfin ! et Travolta en couillon est cent plus génial que Delon en bandit hiératique...
Bref chef, d'œuvre salutaire.
PP : et un très bon moment pour moi, jubilatoire.
Je n'ai jamais eu envie de voir ça (à tort ?) et j'aime pas Travolta.
Cornus : oui, à tort !
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