"Histoire de ma vie" : c'est déjà pris par George Sand ! Alors, je choisirai un autre titre pour le témoignage que l'on me demande d'écrire...
J'ai envoyé les deux premières pages, une sorte d'introduction, à ma commanditaire à qui cela semble parfaitement convenir. Entre temps, j'en ai écrit trois ou quatre autres, sur mes débuts dans l'enseignement. Étrangement, cela, pour l'instant, me vient assez facilement. Mais, comment disait Letizia Ramolino : "Pourvou qué ça doure !".
Un seul détail m'embête un peu : la brave dame me demande un plan ! Quoi ! Comme à l'école ? J'ai toujours eu horreur d'en faire et c'est toujours contraint et forcé que je me suis soumis à cet impératif ! J'ai chaque fois l'impression que s'assujettir à des parties préétablies bride la spontanéité. Alors, je crois bien que je vais lui désobéir, à Suzanna ! Au moins tant que cela ne deviendra pas indispensable. Pour l'instant, ce sera "currente calamo" (sauf pour le style, auquel je prends garde) ou ce ne sera pas !
mercredi 22 janvier 2014
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2 commentaires:
Ah ben tiens, je me souviens aussi que je ne suivais jamais de plan écrit jusqu'à une période très avancée et personne ne s'était véritablement aperçu que la consigne n'était pas suivie. Le plan, quelque part existe dans la tête ou se construit au fur et à mesure. Aujourd'hui, dans le cadre du boulot, je fais le contraire : je construit d'abord le plan (chapitres, sous-chapitres, paragraphes...) avant de rédiger pour de bon. Comme cela, on a une vision globale.
Et quand je lis un rapport, un livre technique de bout en bout, je ne lis jamais le sommaire, je découvre au fur et à mesure.
Cornus : je préfère pour l'instant laisser sortir les choses comme elles viennent. il sera bien temps, après, de les remettre en ordre si besoin est.
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