Un vrai temps de novembre hier pour la fin des festivités du soixantenaire! Mais j'aime assez cette brume et ce froid particulier des journées d'automne. Je crois que pour tous mes anniversaires, ça a été le cas.
Nous étions 23 chez Patrick et Francine le soir. Émile avait fait spécialement le voyage depuis la Savoie et Marie-Claire depuis l'Isère. Des amis dont les âges s'échelonnaient de la trentaine à plus de quatre-vingt. Je crois que tout le monde a bien apprécié la soirée: boisson (ah! le punch de Patrick et le champagne de Francine!) et nourriture abondante, rires et bonne humeur. Discours demandé et non préparé, donc un peu "embarrassé" après l'apéritif. Ni Kicou ni Amédé, mes vieux amis décédés, n'étaient là pour faire la fête mais j'ai respecté les règles des dizaines instaurées par Kicou pour l'apéritif et pour le dessert: une pièce montée!
Et puis des fleurs, beaucoup de fleurs, et puis des cadeaux, dont Le Petit Traité de l'abandon, d'Alexandre Jollien, que j'avais bien l'intention de lire. Et puis plein de sous qui me permettront dans un avenir proche de changer mon ordinateur. Une dernière chose: hier, j'étais vraiment là, avec les autres.
samedi 17 novembre 2012
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4 commentaires:
Il y a un tel contraste entre la solitude, apparente du moins, quand j'ai commencé à te lire, et toute cette joie que tu arrires pour ton anniversaire. Cela me fait évidemment plaisir.
Cornus: tu n'as pas tout à fait tort. Ma vie a changé.
Tiens, ton billet me fait penser que je n'étais pas là, moi, le 7 novembre. J'aurais pu y penser. Mais je suis coutumier de la chose, avec toi et avec les autres. Je n'oublie pas, mais j'y pense systématiquement en retard. C'est une manie. Il ne faut pas m'en vouloir.
Je devrais pourtant m'habituer, car j'ai un repère infaillible : ma soeur, le 6.
Je t'embrasse tardivement, mais très affectueusement tout de même, grand frère.
Lancelot: merci à toi. Bises à toi aussi et sans rancune pour le retard.
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