lundi 1 octobre 2012

C'est à vous (3)

A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez l'agrandir en cliquant dessus).

14 commentaires:

P. P. Lemoqeur a dit…

La première fois, je m'en souviens,
Ce n'était pas un coin de rue.
Mais ce fut bref, j'en conviens
Une page trop vite lue...

G. B. a dit…

Qu'ce soit en grande pompe comme les gens biens
Ou bien dans la rue comme les pauvres et les chiens
On se souviens d'elle, on s'en souviendra

D'la première fois qu'on l'a pris dans ses bras
...

Nicolas Raviere a dit…

Ce qu'on ne sait pas c'est que tout a commencé sur la pelouse des ébats :)

Cornus a dit…

Rue éphémère

Jean-Pierre a dit…

Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable..

laplumequivole a dit…

Voie à sens unique
Stationnement limité
Risque de bouchons aux heures d'affluence

Cornus a dit…

Rue de papier, rue à cloche-pied

Calyste a dit…

A tous: j'étais sûr que cela allait vous inspirer. Merci à G.B pour sa visite sur ce blog, où je lui souhaite la bienvenue, et pour sa toute nouvelle participation

Georges a dit…

Je suis plus inspirée par les dernières fois... Je ne vis que des dernières fois en ce moment.

Calyste a dit…

Georges: je voulais plaisanter en commentant ton commentaire mais je n'y ai pas l'âme. Je ne t'ai toujours pas répondu par ailleurs mais je le ferai, sans bâcler.

P. P. Lemoqeur a dit…


G.B. a dit...

Moi, contrairement à l'homophobe G.B. ce ne fut pas une fille, ce fut un garçon...

Calyste a dit…

P.P: ne crois-tu pas que "elle" représente la première fois?

Georges a dit…

Homophobe, quel grand mot.
Calyste, en peu de temps tout à tellement changé, mon mail doit être aujourd'hui une brouette de mièvreries qui ne méritent pas de réponse. Et puis, on s'en fout.

Calyste a dit…

Georges: malgré mon silence, je pense à toi. Tu n'es pas obligée de me croire, mais c'est vrai. Juste un blocage en moi en ce moment pour tout ce qui me touche le plus à cœur.