vendredi 27 juillet 2012

Le Tailleur gris et le Nez

Un xième Camilleri à mon actif: Le Tailleur gris, un roman noir indépendant de la série des Montalbano et même de tout ce que j'ai lu jusqu'à aujourd'hui de cet auteur. Moins d'humour, beaucoup moins, de la noirceur, oui, et une réflexion sur l'infidélité, la maladie et la mort. Ce monsieur a décidément beaucoup de cordes à son arc.

Et puis un petit régal très vite avalé en essayant de prendre quelques couleurs sur la plage de Miribel avant le départ pour Rome. Une nouvelle fantastique de Gogol: Le Nez. Complètement absurde et traité de façon très classique alors que le sujet ne l'est pas. Ils savaient écrire, ces russes du XIX°. Et là, ce que j'ai apprécié, pas de risque, vue la faible épaisseur du récit, de s'emmêler les neurones avec une galerie foisonnante de personnages.

Prévu dans la valise, à déguster entre deux Campari: Un Garçon parfait (non, non, ce n'est pas moi!) de Alain Claude Sulzer. Vous connaissez?

2 commentaires:

Cornus a dit…

Une fraction de seconde j'ai vu dans ton titre le "Gris-Nez" Mais je sais que tu ne mets pas le cap par là.

Calyste a dit…

Cornus: c'est même à l'opposé que je vais!