Croisé cet après-midi Azouz Begag sur le cours Gambetta, accroché à son portable, souriant, tel qu'en son image.
Une demi-heure à la Part-Dieu, auparavant. Trouvé un cadeau de Noël. Temps bien rentabilisé, je trouve. Ensuite, la fuite.
A l'instant, fin de L'Humeur vagabonde, avec la soprano Nathalie Dessay et le jeune pianiste David Fray. Quelle intelligence chacun d'eux! Il faut les entendre parler de Bach, les entendre interpréter Bach. Je suis toujours émerveillé par la beauté de cette musique, comme si je la redécouvrais chaque fois. "Jean-Sébastien Bach, c'est la vie." a dit Dessay en fin d'émission. C'est la vie, oui, dans tout ce qu'elle a de plus merveilleux.
Benoit m'a téléphoné, après tout ce temps. Deux minutes à peine, trente secondes ....pour me dire qu'il me rappellerait. Bonne voix, un peu timide. Sa mère l'appelait pour dîner. Jeunesse...
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