J'en suis revenu à mes vieilles amours en achetant un nouveau polar de Camilleri : Nid de vipères. Bien sûr, on y retrouve les traditionnels protagonistes du commissariat de Vigata, cette fois-ci aux prises avec les membres d'une famille pas piquée des vers. On y retrouve les bonnes bouffes de Montalbano, la jalousie maladive de sa compagne, l'humour de Camilleri. Bref, on est comme chez soi, et c'est bon. Mais cette fois-ci, l'auteur pousse un peu plus loin dans le noir, en abordant un sujet plus sensible : l'inceste.
(Andrea Camilleri, Nid de vipères. Ed. Pocket Fleuve noir. Trad. de Serge Quadruppani.)
dimanche 30 juin 2019
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