La seule nouveauté pour le départ fut la découverte d'une possibilité de parquer sa voiture dans les locaux d'une entreprise privée proche de l'aéroport Saint-Exupéry pour un prix, à quatre, nettement moins élevé que les parkings longue durée de l'aéroport ou le trajet aller-retour par le Rhône-Express. Et j'avais pris la précaution, à la dernière minute, de réserver une place couverte, ce dont je n'ai eu qu'à me louer, vu le temps qu'il a fait à Lyon pendant notre séjour.
Vol sans encombres jusqu'à Fuimicino (Léonard de Vinci). Commencerai-je à m'habituer à l'avion ? Juste un peu de moiteur sur les mains au décollage, rien à l'atterrissage, rien au vol retour. Le taxi nous conduit jusqu'au Trastevere après un petit détour de l'autre côté du Tibre : visiblement, il ne connaissait pas très bien la rue où nous logions...
Petites courses, place San Cosimato, au seul magasin ouvert en ce jour de fête nationale. Repas au restaurant et courte déambulation dans les rues sinueuses (et souvent très encombrées le soir) proches de Santa Maria in Trastevere. Puis nous allons nous coucher tôt car les attentes (debout à Lyon) dans les aéroports sont toujours interminables et très fatigantes.
7 commentaires:
Cette lumière !
Les rues étroites et ombragées ont du charme là-bas.
Jérôme : et tous les soirs. J'aime beaucoup la lumière de cette heure-là.
Cornus : celle-ci en particulier, un peu à l'écart des flots qui envahissent les autres, plus importantes. C'est un quartier qui, par endroit, a gardé son identité populaire.
Le soleil, c'est l'Italie !
Chroum : plus que le soleil, la lumière.
C'est amusant, je viens de passer plusieurs jours à Rome moi aussi, mais aussi à Florence, Venise et autres lieux, grâce au bouquin emporté pour mes soirées en bord de ria : Au temps où la Joconde parlait de Jean Diwo. Je crois qu'il te plairait ce livre.
Plume : je connais l'auteur de nom mais ne l'ai jamais lu. Je retiens.
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