Bien sûr, on ne peut pas être dans ce quartier sans aller jeter un œil aux Caravage de Saint-Louis-des-Français, malheureusement difficilement photographiables.
Et au Panthéon :
Et à Santa-Maria-sopra-Minerva (XIII°) précédée de son obélisque porté par un éléphant conçu par Le Bernin et qui abrite, outre le tombeau de Sainte Catherine de Sienne, Le Christ ressuscité de Michel-Ange (le voile pudique fut ajouté après coup pour masquer une nudité assez peu fréquente dans les églises) et la pierre tombale du peintre Fra Angelico qui mourut dans le couvent attenant.
En rentrant, au bout de la Place Navone, je montre à mes compagnons les ruines du stade de Domitien (I°) dont la place épouse la forme exacte.
Et nous regagnons le Trastevere en revoyant le Château Saint-Ange et en achetant, avec Frédéric, quelques magnets (cinéma italien) aux étals des bords du Tibre.
2 commentaires:
Après la Piéta, le Christ ressuscité de Michel Ange, cela fait déjà... et puis Caravage... Bien bien...
Cornus : et Fra Angelico !
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