Une nouvelle rubrique. J'aime la musique, j'aime le cinéma. Pourquoi ne
pas associer les deux ? D'autant qu'il suffit parfois de quelques notes
entendues pour revoir les images qui nous ont marqués.
Ben oui, c'est ce que la société de consommation appelle "la magie de Noël". Mais j'aime bien ce film. J'ai peut-être gardé mon "âme d'enfant" ?
jeudi 21 décembre 2017
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5 commentaires:
Ah tiens, anecdote personnelle: ce film est lié à un traumatisme d'enfance. En sortant de la séance, ma mère s'est inquiétée me voyant pleurer à chaudes larmes... Un vrai désespoir. Je me revois encore hoquetant sur le boulevard. En fait je n'avais pas supporté que Mary s'en aille.
Ce fut la découverte, au travers du cinéma, que les choses ont une fin.
Et ce n'est que depuis quelques années que je m'en suis remis et que je l'accepte!
Mais j'aime toujours le film.
Je ne connais pas (à part de nom), mais cela m'a l'air pas mal !
Jérôme : attendrissante, ton anecdote ! Mais tu te trompes : Mary n'est pas partie. Je la croise souvent dans la rue, surtout aux périodes de Noël. Rassure-toi, elle n'a pas pris une ride.
Plus sérieusement, quant à la finitude des choses (et des gens), je l'accepte aussi maintenant, sans pour autant m'y être fait.
Cornus : il faut aimer la magie enfantine. Je crois que, si tu le voyais, tu aimerais.
Merci de ta réponse qui m'a fait réfléchir. Je crois que l'acceptation ne vient pas de la résignation mais de l'expérience, que ne pouvait avoir l'enfant de huit ans. La finitude existe mais s'accompagne de la roue de l'éternel recommencement !
Bonnes fêtes à toi.
Jérôme : merci, bonnes fêtes à toi aussi.
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