Une nouvelle rubrique. J'aime la musique, j'aime le cinéma. Pourquoi ne
pas associer les deux ? D'autant qu'il suffit parfois de quelques notes
entendues pour revoir les images qui nous ont marqués.
Dans un tout autre genre, un sacré coup de poing dans la figure, avec Apocalypse now et la chanson des Doors : The End.
jeudi 7 décembre 2017
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4 commentaires:
Je ne connais pas la musique et cela ne m'intéresse pas particulièrement. En revanche, j'ai vu ce film il y a très peu de temps (passé en novembre sur Arte il me semble ?) et je n'en connaissais pas précisément l'intrigue (seulement le thème) et j'ai bien aimé.
Un des plus beaux morceaux des Doors pour moi ! Tiens je vais me la réécouter encore.
Quant au film, justement j'aimerais le regarder à nouveau pour entre autres choses l'utilisation tellement fine et adéquate de la musique, chose si rare au cinéma, Mais je peux pas ! M'a fait faire trop de cauchemars pendant trop longtemps.Pas envie de repiquer...et d'entendre arriver les hélicoptères à chaque fois que j'entends les Walkyries...
Ça me fait tout drôle de lire sous la plume de Cornus cette expression "j'ai bien aimé". Pour moi ce film est un monument mais si puissant et angoissant que je me vois mal utiliser une expression de cet ordre. D'ailleurs je ne pourrais pas dire non plus des choses comme "j'ai adoré", "j'ai beaucoup aimé". Je peux juste dire "j'ai été bouleversée".
Cornus : c'est un film que l'on n'oublie pas.
Plume : moi aussi, il m'a bouleversé et moi aussi je ne peux pas entendre les Walkyries sans penser aux hélicoptères. C'est atroce mais quelle beauté !
Plume & Calyste> C'est justement parce que je savais à peu près à quoi m'attendre que cela ne m'a pas plus bouleversé que ça et je n'ai pas dit que je n'avais pas été touché. Le coup de la chevauchée des Vaches-qui-rient ne m'était pas inconnu et cela ne m'a pas perturbé. Et pour reprendre les mots de Calyste, c'est plus beau qu'atroce : j'ai le souvenir de films que j'ai trouvé bien plus atroces de mon point de vue comme La 317° Section de Pierre Schoendoerffer (vu assez récemment) et d'autres films américains sur la même guerre et dont j'ai oublié les titres. Par ailleurs, nous l'avons vu en deux soirées, ce qui ne rend pas la même impression. J'ai donc utilisé l'expression "j'ai bien aimé" parce que c'est ce qui me semblait le plus adéquat, car en effet, je n'ai pas été bouleversé, mais intrigué par le côté esthétique et la folie des hommes déclinée de diverses manières.
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