Mais cette fois-ci, ailleurs : un petit village près des Rousses. Sur la route, nous nous arrêtons, Frédéric et moi, à Saint-Claude pour prendre un café. J'y avais, il y a longtemps, emmené mes élèves pour visiter l'atelier d'un artisan de la corne et de l'ivoire. Aucun souvenir de l'église monumentale, vestige d'une ancienne abbaye, que, malheureusement, nous ne pourrons visiter pour cause de messe.
A midi, repas dans un restaurant de La Pesse dont je ne dirai rien, tant le rapport qualité-prix était médiocre (seul le fromage blanc a eu grâce à mes yeux !). En revanche, la patronne me donne des nouvelles de l'ancien propriétaire d'un gîte de montagne où j'étais allé deux fois avec des collègues et où j'avais découvert le ski de fond. : un anglais atypique et très drôle qui habite toujours dans le village.
Sur la route du retour, arrêt en bord de route, entre les plaques de neige , pour cueillir, dans les champs qui en sont couverts (je n'en ai jamais vu autant), quelques modestes jonquilles que j'ai partagé avec ma sœur et mes vieilles voisines : ça change du sacro-saint brin de muguet !
Et puis, pour rentrer à Lyon de nuit, après le froid et le vent, la pluie !
lundi 1 mai 2017
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3 commentaires:
de l'église je préfère le cul à la tête, cela va sans dire.
ah des jonquilles, le climat montagnard bien sûr, vu d'ici cela parait déjà d'un autre temps...
Quand on étions en vacances mi-avril, les jonquilles étaient en pleine floraison, mais sur le déclin (un peu moins de 600 m d'altitude). Là, la cueillette s'est faite à quelle altitude ? Moi aussi, c'est le chevet que je préfère.
Karagar : moi aussi, même préférence bien sûr.
Cornus : 1100 mètres.
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