Trois ou quatre lettres, et ça suffit. Comme les notes de musique qui ne sont que sept et se combinent à l'infini pour donner des symphonies, des cantates ou la chansonnette populaire qui nous trotte dans la tête, les lettres sautillent et jouent à nous tromper.
Prenons-en trois, deux voyelles et une consonne : A,I,M.
On voit apparaître l'ami, parce que c'était lui, parce que c'était moi, et le mai, le joli mai en barque sur le Rhin.
Ajoutons-leur le E. L'amie toujours mais aussi l'aimé, confusion des sentiments et des sexes, dont d'autres parlèrent mieux que moi.
Gardons-nous cependant d'en arriver à la maie qui risque de nous mettre dans le pétrin.
lundi 8 juin 2015
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2 commentaires:
Je ne connaissais pas "maie".
Cornus : quant à moi, je l'avoue, je connaissais mais ne lui donnais pas ce sens du tout.
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