Encore un! Avec un auteur prolixe comme lui, il ne faut pas s'en étonner. Lorsque je vais en librairie, il faudra que j'emporte avec moi la liste de ceux que je possède déjà, pour ne pas risquer les doublons. Parce qu'on peut oublier, tant ça se lit vite! De qui je parle ? De Camilleri, bien sûr. Je viens d'en finir un autre. le titre: La Patience de l'araignée. Toujours Montalbano, toujours Vigata, toujours Mimi, et Fazio, et Livia, et Catarella.
La seule chose qui a changé: cette fois, je l'ai vu venir le roublard, et j'avais trouvé la clé de l'énigme bien avant la dernière page. Mais qu'importe, toujours le même plaisir à le lire, pour son humour, pour sa tendresse, pour l'émotion parfois. Et puis des chapitres qui s'intitulent: UN, DEUX, TROIS, etc., ça ne se refuse pas, ces petits plaisirs désuets. Une dernière chose qui m'a sauté aux yeux cette fois-ci: il y a du Frédéric Dard dans cet homme, la Sicile en plus !
(Andrea Camilléri, La Patience de l'araignée, Fleuve noir. Trad. de Serge Quadruppani.)
vendredi 11 mai 2012
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2 commentaires:
Bon, moi c'est un bout de papier avec son nom écrit dessus qu'il faudra que j'emporte en librairie parce qu'à chaque fois je suis comme une buse à essayer de m'en souvenir !
La Plume: c'est pourtant simple: CA-MIL-LE-RI ! Repeat after me!
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