mercredi 7 novembre 2018

Musique et cinéma



J'avais oublié toutes ces musiques (Bach, Mozart, Prokofiev, messe congolaise, spirituals...) qui viennent et disparaissent dans le film de Pier Paolo Pasolini, L’évangile selon saint Matthieu (1964), et dont la première sélection avait été opérée par Elsa Morante.

Mais je n'ai jamais oublié tous les visages, d'une beauté profondément humaine et émouvante des personnages, tous acteurs non professionnels. Ni le visage extraordinaire de Enrique Irazoqui, le Christ. Comme j'aimerais revoir ce film.

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