Vu hier soir Le Casse-tête chinois (2013), de Cédric Klapisch, troisième volet de la trilogie qui comprend L'Auberge espagnole (2002) et Les Poupées russes (2005). D'ailleurs L'Auberge espagnole a été rediffusée en deuxième partie de soirée.
Pour une fois, l'idée des deux films à la suite était bonne : occasion de revoir les personnages des films (mêmes acteurs : Romain Duris, que j'aime beaucoup, Audrey Tautou, Cécile de France et Kelly Reilly entre autres) avec 11 ans de moins et pas encore installés dans une vie qu'ils ne pressentaient pas à Barcelone, lors de leur séjour Erasmus.
Et je n'ai pu m'empêcher de me retrouver plongé dans mon séjour de 1981 à l'Université pour Étrangers de Perugia, en Ombrie. Même envie de tout apprendre, de tout connaître, même joie de vivre étudiante, mêmes soirées occupées (ou solitaires), mêmes expériences inattendues ( pour moi, par exemple, coucher dans le même lit qu'une psychiatre belge sans jamais se toucher, pendant que, dans la pièce à côté, un lyonnais rencontré sur place s'en donnait à cœur joie avec une australienne un peu folle qui m'avait surnommé "l'unico". Ou bien une visite nocturne au lac Trasimène avec un italien magnifique que j'avais su séduire). Sans doute la meilleure période de ma vie !
jeudi 28 juin 2018
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2 commentaires:
J'avais tenté de regarder "L'auberge espagnole", certes pas depuis le débit du film, mais je n'ai pas accroché du tout, j'avais trouvé l'histoire très superficielle et ennuyeuse et j'avais renoncé.
Cornus : je lui préfère Le Casse-tête chinois. Pour Les Poupées russes, je ne me souviens pas de l'avoir vu.
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