Une nouvelle rubrique. J'aime la musique, j'aime le cinéma. Pourquoi ne
pas associer les deux ? D'autant qu'il suffit parfois de quelques notes
entendues pour revoir les images qui nous ont marqués.
Le Repos du guerrier. (Roger Vadim).
Des souvenirs en spirales, comme l’œil d'un cyclone, avec l'adolescence à la source : Christiane Rochefort, l'écrivain de mes dix-sept,dix-huit ans, que me fit découvrir un amant plus âgé et qui marqua mon départ de la maison familiale. La voix rauque de Frida Boccara sur la musique de Michel Magne, Frida morte jeune et dont qui se souvient ?
Et le doux soir d'un été encore proche, presque seuls avec les hirondelles, devant San Galgano un baiser sur le chemin de cyprès, parce que la beauté nous avait effleurés.
jeudi 28 décembre 2017
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6 commentaires:
Personnellement pas très fan du film et pas énormément de la musique. Il me semble que tu avais déjà montré cet extrait il y a bien au moins 4-5 ans de cela.
quelle précocité pour les amants...
Cornus : oui, je l'avais déjà posté, pas particulièrement pour la musique mais pour les souvenirs que cela m'évoque.
Karagar : précocité ?
Si je lis bien, tu avais 17 ou 18 ans....
Karagar : oui pour le roman, un peu moins pour la chanson, beaucoup plus pour San Galgano. Mais oui, j'ai été très précoce en effet.
Je regretterai toujours qu'étant à Sienne, nous n'ayons pas eu le courage de pousser jusqu'à San Galgano, parce que l'après-midi tirait à sa fin et qu'il fallait rentrer à Lucca.
Une lacune à combler, un jour peut-être ?
Moi j'avais tout adoré en vrac : le livre, le film, la musique, et même le site, sans même y avoir jamais mis les pieds.
Bisou lointain et amical d'un Terrien exilé de la planète BLOG.
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