Samedi 16 juillet
Un voyage sans ennuis, avec un peu plus de circulation qu'il y a quelques mois quand je l'ai fait avec ma sœur, mais rien de comparable avec la ruée de la vallée du Rhône. Même le contournement de Clermont-Ferrand se passe sans encombre.
Repas à Ussel qui ne me séduit toujours pas. Voilà bien un endroit où je ne vivrais pas. Aux murs du restaurant, les photos de quelques hôtes célèbres, chanteurs, acteurs ou rugbymen.
Arrivés à Coly, entre Brive-la-Gaillarde et Sarlat, mes acolytes sont tout de suite séduits par la propriétaire du gîte que nous avons loué, comme je l'avais été moi aussi par son élégance, sa finesse, son intelligence et sa gentillesse. Elle a pensé à mettre de l'eau au frais, à faire des glaçons, ce qui est bien agréable après tous ces kilomètres, et nous offre une bouteille de vin de noix frabrication maison.
La chasse d'eau des wc du haut ne fonctionne pas, problème vite réglé par son compagnon qu'elle fait venir pendant que nous faisons les courses à Terrasson-Lavilledieu, un gros bourg tout proche. Après le repas du soir, promenade "à la fraîche" dans les rues en pente de Coly jusqu'aux ruines du château féodal (XII°) et à la petite église romane (XII°) que nous visiterons un autre jour.
mercredi 27 juillet 2016
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4 commentaires:
Ah le vin de noix ! Rien que pour ça cette dame mérite le respect !
Plume : et pour bien d'autres choses encore.
Nous sommes passés à Clermont-Ferrand deux jours plus tard, mais ce n'est pas notre meilleur souvenir (bientôt à lire).
Le vin de noix, nous en avions fait deux fois avec mon père à la fin des années 1980. La première fois, il était "normal". La seconde fois, il était trop chargé en noix (même nombre de noix mais noix trop grosses à cause de la variété). Il n'a été buvable (et excellent) qu'après plusieurs années de bouteille).
Cornus : je ne pensais pas que cela puisse se conserver longtemps. Le nôtre était vraiment excellent.
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