Samedi 15 août :
Notre location du gîte prenait fin ce matin-là. Mais pour moi, pas question de faire tant de kilomètres un week-end si chargé. Aussi avions-nous loué à l'hôtel pour deux nuits à La Rochelle. Après avoir acheté quelques bouteilles de Chinon rouge au frère de la propriétaire, nous voilà partis.
Le paysage change peu à peu au fur et à mesure que l'on s'approche de l'océan, jusqu'à devenir presque plat, ce qui ne m'a jamais attiré. En route, nous nous arrêtons pour manger à La Laigne (Charente-Maritime), en bordure du marais poitevin, dans une petite gargote très modeste, pensant y faire une courte escale.
Mais nous eûmes l'heur de plaire au patron, un homme d'une quarantaine d'années, nerveux et sec, qui a l'habitude de calculer ses prix en fonction de l'attitude des clients : s'ils sont polis et souriants, c'est moins cher ! Nous, nous eûmes droit à la tournée d'apéritif, à fromage et désert (au lieu de ou) et à un petit cognac pour la route (plus un T-shirt pour moi). Belle rencontre donc, et en plus, on y mange bien. Si vous passez par là, cela s'appelle Le Faisan doré.
Installation à l'hôtel puis visite de la ville. Mais 15 août oblige, il y avait une fête et une foule pas possible.
Alors, nous renonçons et partons en mini-croisière faire le tour des îles voisines en passant par Fort Boyard. Curieux comme ce fort, depuis le jeu télévisé, attire les gens. Ce n'est pourtant pas très beau...
Rentrés à l'hôtel, après un petit tour nocturne, nous projetons pour le lendemain la visite de Rochefort et Saintes.
jeudi 27 août 2015
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3 commentaires:
Pas mal les prix à la bonne "tête" des clients. Cela arrive quand même rarement, et ce n'est jamais aussi généreux.
La Rochelle, j'y suis passé deux fois, et la dernière fois c'était en 1992 avec les étudiants de l'IUT de Tours, en étant épouvantablement malade ("rapatriement sanitaire" le lendemain). Mais ce n'était pas la ville qui m'avait mis malade et j'ai très envie d'y retourner.
Pas de tendresse particulière pour le fort Boyard, bien trop vu à la télévision et dont l'émission m'exaspère.
tu étais presque sur les traces du début de mes vacances!
Cornus : oui, pas mal, mais je ne sais pas combien de temps il va tenir (d'autant qu'il me semble qu'il a tendance à boire son revenu).
Karagar : décidément, nous tournons toujours approximativement dans les mêmes coins.
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