D'Arthur Koestler, j'avais lu autrefois Le Zéro et l'Infini et Un Testament espagnol dont je n'ai pas gardé beaucoup de souvenirs. Le vieux livre de poche m'a attiré chez Emmaüs mais je crains qu'il en soit de celui-ci comme des deux autres : je l'oublierai.
Bien sûr, j'étais dans mon élément avec ce gladiateur thrace qui mena la plus célèbre des révoltes d'esclaves dans l'Antiquité romaine. Bien sûr, des noms comme Pompée, César, Crassus ou Sylla ne m'étaient pas indifférents. Bien sûr, j'imaginais facilement les paysages de Campanie ou de Lucanie.
Mais que dire de plus ? C'est un livre qui se lit, qui instruit parfois (cette alliance avec les pirates est-elle historique ?) mais il y manque un aspect que j'aurais aimé y trouver : le souffle de l'épopée.
(Arthur Koestler, Spartacus. Ed. Calmann-Lévy. Trad. de Albert Lehman.)
lundi 11 mai 2015
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire