Non, je ne vous parlerai plus de la rentrée, des petits qui sont comme ci, des grands qui ont fait ça, des collègues qui ont dit que.... Plus rien là dessus, parce qu'à la longue, ça doit peser un peu à ceux qui ne sont pas enseignants. Et puis quel intérêt ? C'est toujours finalement la même chose et un prof, par essence, ça aime se plaindre ou se faire plaindre.
Donc fini ! Mais ennui majeur ! Que dire d'autre ? De quoi parler, sur quoi écrire, puisque je suis déjà en plein dans la soupe pédagogique ? La tête dépasse encore mais bientôt je mettrai le tuba pour survivre. Ça me prend déjà beaucoup de mon temps et une grande partie de mon énergie.
Plus d'idées. Vous pouvez souffler (ouf ! il va enfin cesser sa logorrhée !) ou souffler (donnons-lui quelques idées, à ce pauvre Calystee!). Une seule envie ce soir : me vautrer sur un canapé et regarder la télé en dormant, ou dormir en regardant la télé. Regarder quoi ? Là aussi, pas la moindre idée. Mais bon, ça peut changer d'ici tout à l'heure !
mercredi 7 septembre 2011
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8 commentaires:
Ecoute la symphonie concertante, ça calme et lis un gros pavé fantastique "Là où les tigres sont chez eux" (et où personne ne nous em...)
Moi je vais te dire un truc très con...
Tu fais partie de ceux dont le travail est capital. On peut se passer de députés, de marchands, même de fossoyeurs...
On ne peut pas se passer de ceux qui "apprennent" et de ceux qui soignent, artistes, pédagogues ou médecins... Et toi et moi pouvons en convenir, sans prêcher pour notre paroisse puisque, je ne sais pas pour toi, mais pour moi la procréation était hors sujet...
Je n'ai pas d'admiration pour les enseignants, c'est pas le propos, en revanche je les aime car transmettre, c'est aimer ou cela n'est pas.
Voilà...
Tu vas quand même pas faire la rubrique météo sur Lyon?Allez,aujourd'hui ils t'ont tué le cerveau mais demain c'est un autre jour tu vas leurs clafoutir les neurones.Réfléchir,écrire,rire se font de bonne compagnie et Calysnocchio nous jure de ne plus parler boulot?...une façon de nous appâter .Et si parler boulot ici c'était en parler autrement.Dans le boulot y a pas que le boulot
Je ne trouve pas ça emmerdant, ta rentrée..
Moi je dis, le principal c'est pas que tu ne nous en parles plus (ou que tu nous en parles, mais que tu n'y penses plus (ou que tu n'y penses pas trop. C'est un des emmerdements majeurs du métier d'enseignant, c'est qu'on est toujours la tête dedans, bien en dehors du temps passé à vraiment y travailler. Alors quand la passion s'étiole faut apprendre à virer tout ça de sa tête. Une grosse merdouille en somnolant devant la télé, et pourquoi pas ?
Rien à écrire aux amis sur le blogs, et pourquoi pas ?
Enfin, ça, faudrait voir à voir que ça ne dure pas trop, hein !
Sinon on vient tous manifester sous tes fenêtres !
Christine: ok pour la musique, mais le pavé, je l'ai lu: il m'est un peu tombé sur le pied alors que j'en attendais beaucoup. Je n'ai pas vu de logique dans sa progression. Plutôt une impression de remplissage à tout prix.
P.P: moi, je veux rajouter à ta liste tous ceux qui font à manger aux autres. J'ai un profond respect pour ceux et celles qui œuvrent dans les cuisines.
Ipsa: non, Ipsa, ils ne m'ont rien tué du tout. Simplement, j'en avais plein la tête et, pendant un temps, impossible de m'aérer les neurones pour penser à autres chose.
Georges: c'est vrai que c'est plus dans ma tête qu'elle tient de la place!
La Plume: chiche! (pour la dernière phrase!)
Pour durer, tu as vu que ça n'a pas duré. C'est toujours au moment où il faudrait me coucher que je suis le plus en forme!
De la télé, je t'ai rapporté un petit souvenir (billet suivant en video) qui n'est pas sans rapport avec la merdouille!
Tuer le cerveau;expression signifiant entre autre la définition que tu donnes de ton état en rentrant,bien pratique pour échapper au "stress","fatigue nerveuse" et consorts dont t'as pas envie de t'afflubler.Autres utilisations possibles
Un peu les mêmes remarques que Laplume. Personnellement, j'aime bien les anecdotes, ou des faits plus personnels que tu nous rapportes sur l'école. Enfin, de mon point de vue, je veux dire que si tu as envie d'en parler, il ne faut pas hésiter.
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