Sans leur attribuer un quelconque sens caché au profane qu'il faudrait absolument décrypter pour avancer sur son chemin de vie, je constate pourtant souvent d'étranges coïncidences. Ainsi, lundi, j'ai vu le western d'Howard Hawks, La Captive aux yeux clairs dont le titre original est The Big Sky. Or hier soir, après avoir terminé la lecture de gaudé, j'entame un nouveau roman, Indian Creek, de Pete Fromm, dont je parlerai plus tard, et que lis-je en page 16 ?
La lecture de The Big Sky de A.B. Guthrie me plongea dans une sorte d'hébétude, je m'imaginai devenir un nouveau Boone Caudill (un des héros du film) que le monde ébahi allait bientôt découvrir.
(...) Assez vite, je commençai à me fabriquer une paire de mocassins à la façon des Indiens Flathead (Têtes plates), mais je prétendais en secret qu'ils étaient Blackfeet, car les Blackfeet (ça ne vous rappelle rien, les Blackfeet, Pieds-Noirs) étaient plus redoutables.
Pour les vacances de printemps, Rader, son ami Sponz, moi et quelques autres, tous entassés dans le deerslayer, partîmes faire un séjour dans les Tétons ( cadre naturel servant de décor au film). Nous fîmes griller du poulet sur un feu interdit et bûmes du whisky bon marché comme le font dans les livres les hommes des grands espaces.
Voilà au moins un roman pour lequel je n'aurai aucune peine à imaginer les grandioses paysages.
(Les parenthèses dans le texte en italiques sont de moi.)
mercredi 4 août 2010
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