Allez, au boulot! En fait, je suis rentré depuis quelques jours mais la flemme m'a pris dans la touffeur lyonnaise retrouvée (pas aussi forte que précédemment, la chaleur, mais tout de même !). J'étais parti dans la Creuse avec un ami qui aime la campagne profonde, près de Bourganeuf. Il y avait plus de dix ans que je n'y étais pas retourné, principalement à cause de la maladie du mari de mon ancienne collègue et dont il est décédé l'an dernier.
Grand plaisir donc de revoir ces collines, ces forêts, ces étangs, ces minuscules routes tortueuses et ces fougères géantes. Il a fait très chaud en août là-bas aussi mais vraiment rien à voir avec nos températures lyonnaises : pour preuve la verdure des près alors qu'ici, dans la campagne alentour, c'est du foin que l'on voit.
Noëlle habite une ancienne forge, une pièce en bas (cuisine), une pièce en haut (chambre), agrandie par une partie en bois (salon et salle de bains). Dans le verger de l'autre côté du chemin, elle a fait construire un "chalet" qui héberge ses invités : une chambre et des toilettes. C'est là que nous logions.
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La campagne autour de la forge
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Une partie du jardin de Noëlle
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L'agrandissement de la forge
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La forge
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Le "chalet"
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Le presbytère où nous logions, Pierre et moi, avant le chalet
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L"abreuvoir qu nous avions nettoyé, nous faisant ainsi accepter par les "locaux"
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Nos voisines limousines
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5 commentaires:
ah, le granit de l'église me titillait, maintenant je comprends, je sens que ça va me plaire !
Que de lumières !!!
La Creuse, voilà un endroit où je pourrais vivre, facilement.
Bleck
Karagar : il me semble que ça devrait.
Câo : oui, et en même temps, une certaine fraîcheur.
Bleck : en tout cas, moi, je n'y vais jamais à reculons !
Cornus : je suis sûr que ça te plairait, oui.
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