A quelques heures du départ annuel à la montagne, nous voilà bien ! L'un a mal à la tête, ayant été intoxiqué par son chauffage au gaz, l'autre a le ménisque plus que flageolant, un troisième arbore un bel orgelet à l’œil gauche. Quant à moi, je m'amuse à compter mes courbatures (sans avoir rien fait pour les obtenir) !
Cette année, j'ai l'impression que le cocooning va remplacer le sport. Alors, bouquins et mots croisés dans la valise.
L'an prochain, ce n'est pas un appartement que nous louerons mais un ehpad !
samedi 9 mars 2019
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7 commentaires:
Remarque qu'à faire des mots-croisés dans le canapé tu risqueras moins le col du fémur qu'en raquettes.
Bon séjour tout de même !
Plume : oui, mais ça, je peux le faire chez moi !
Cornus : merci. Au fait, le commentaire de Plume te donne la réponse à ma petite devinette de l'autre jour.
pourquoi pas des vacances ailleurs!!
Calyste> Ah, OK, raquettes pas de tennis !
Et comment vont nos éclopés, ce jeudi ? Curieux cette tendance de rigoler des gens qui ont des pépins de santé. Je pense en ce moment à cette vieille chanson wallonne qui moque ce pauvre Harbouya, qui a mal partout. Est-ce pour défier les bobos, serrer les dents ? Mais qui a encore écrit "Nous avons tous assez de force pour supporter les maux d'autrui" ?
Pourtant, cher Calyste, le cocooning a beaucoup de bon. Ce matin, je suis volontairement resté au lit jusque 10 heures et m'en suis très bien trouvé au cours de cette journée venteuse.
Tu m'as appris un mot : "ehpad". Halte ! Là, je préfère mon cocooning à moi.
Bon retour dans la capitale des Gaules.
Cordialement,
Pipo.
Karagar : tradition, quand tu nous tiens...
Cornus : tout à fait.
Pipo : Harbouya, je ne le connais pas mais je vois bien le genre... Loin de moi l'idée de me moquer des maux des autres mais eux (mes amis) comme mi, avons horreur de nous plaindre et préférons rire de nos bobos que d'en pleurer. Et je plaisante autant de mes propres "faiblesses" (qui, avec l'âge avançant, se font parfois sentir).
Je suis rentré hier mais n'ai pas encore eu le courage d'écrire ici.
A bientôt, Pipo.
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