J'ai appris ce matin la mort d'Agnès Varda, dont je parlais il y a peu. J'ai toujours admiré cette femme, que ce soit dans ses films, ses documentaires ou ses créations artistiques. Une féministe sans gros sabots, fine et subtile, qui n'a jamais voulu faire de films-thèses sur les sujets qui lui tenaient à cœur, qui aimait les gens et communiquait facilement avec eux.
Il y a des morts qui touchent, dont on peut dire : "C'est dommage". Il y en a d'autres (comme aussi celles de Barbara ou de Truffaut) qui me mettent en tristesse profonde . Je suis triste ce soir.
Son premier film : La Pointe courte (1955) avec Philippe Noiret et Silvia Monfort.
vendredi 29 mars 2019
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5 commentaires:
Bonjour
J'avais rédigé un commentaire et puis oups, erreur !
Tant pis ! Mais j'ai beaucoup aimmé tout ce qu'elle a fait, j'ai adoré son film avec JR et j'ai acheté le DVD...
Mourir à 90 ans avec une belle vie bien pleine derrière soi je ne trouve pas ça triste du tout. Ça m'irait bien.
Oui, tu nous la montrais il y a quelques jours seulement... Je la connaissais peu.
J'ai eu moi aussi une peine sincère et j'ai même eu quelques larmes, mais sans doute aussi parce qu'elle a l'âge de mon père et que je crains évidemment qu'un jour prochain j'apprenne aussi sa mort :(
Isabelle Z : je ne connais pas son film avec JR mais je vais me renseigner.
Plume : c'est une tristesse toute personnelle, voire égoïste. Elle va me manquer. Mais tu as raison, c'est un bel âge.
Cornus : ils vont peut-être passer d'autres films d'elle, en hommage. Il faut surveiller les programmes télé.
Valérie : je pense qu'il y a toujours des résonances très personnelles dans une mort "officielle".
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