Mais cette fois-ci moins impressionnant puisqu'il s'agissait, jeudi soir, de la séance de signature du deuxième roman écrit par un de mes vieux amis, Nicolas Cano : La Séquestration, publiée chez Grasset.
Plaisir de le retrouver puisque je ne l'avais pas vu depuis longtemps : il s'enferme pour écrire, ce que je ne serais pas capable de faire. Plaisir aussi de retrouver mon ancien quartier, celui de la communauté où j'ai vécu pendant ma vie d'étudiant avant de prendre un appartement avec Pierre.
La Librairie Le Rameau d'or est, paraît-il, la plus ancienne librairie indépendante de Lyon. Peut-être son nom vient-il du livre d'études mythologiques de l'écossais James George Frazer, inspiré par un épisode de l'Enéide où Énée et la Sybille, pour pouvoir entrer aux Enfers, en tendent un au gardien Cerbère. Avant d'arriver, j'avais fait une erreur en confondant ce titre avec Les Lunettes d'or, de Giorgio Bassani, auteur également du Jardin des Finzi-Contini.
Je suis reparti avec mon exemplaire dédicacé. Je ne tarderai pas à le lire car le précédent opus de Nicolas, Bacalao, m'avait beaucoup intéressé. Et je n'oublie l'époque de notre jeunesse où nous déambulions dans les allées bourgeoises du parc de la Tête d'or en nous disant que, lorsque nous serions célèbres grâce à nos écrits, nous vivrions dans un de ses beaux immeubles.
samedi 30 mars 2019
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2 commentaires:
Ah ça, c'est bien et il a dû apprécier te voir à cette occasion.
Cornus : en même temps, ce n'est pas le moment le plus favorable à des discussions amicales.
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