C'est ainsi que s'appelle désormais le Musée des Moulages de Lyon, rouvert après travaux début mars mais, pour les particuliers, uniquement les mercredis et samedis après-midi. J'y suis allé hier, d'autant que l'on y annonçait une expo temporaire : Hipsters in stone, de l'artiste Léo Caillard.
J'espérais que la mise en espace aurait changé depuis ma dernière visite au moment des Journées du Patrimoine. Si les statues et bas-reliefs ont bien été regroupés par thème (divinités, portraits, monstres et mythologie, ....), si de nouvelles pièces sont apparues, sans doute autrefois entreposées dans les réserves, l'alignement monotone est toujours de mise. Je regrette vraiment le côté grenier de l'ancienne usine.
Deuxième déception : l'expo annoncée semble plutôt se trouver à l'ENS. Ici, cours Gambetta, peu de choses : une ou deux œuvres "habillées" et surtout des photos. La semaine prochaine, je reprendrai le chemin de Gerland pour voir le reste. Il sera toujours temps de vous en dire et montrer plus.
Expo temporaire :
Expo permanente :
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5 commentaires:
Voilà des choses bien amusantes, mais effectivement, les alignements de statues, c'est pas terrible et cela ne se fait plus trop, ailleurs...
Oui, très rigolo, il a de l'humour le gars.
Pour la permanente c'est un adjudant-chef qui est en charge de la muséographie ?
Le batiment lui-même parait déjà très froid et c'est encore accentué par les alignements rigides de statues . Mais Léo Caillard, lui, j'aime beaucoup . Je suis allée sur internet voir un article sur lui : " Hipsters in stone à la mode des années 20 " . Je trouve cet artiste vraiment très intéressant . A la fois,par les vêtements années folles que j'adore et par l'anachronisme très réussi entre passé et présent .
au delà de "rigolo", ça fait regarder différemment...
Cornus : j'ai l'impression qu'ils misent davantage maintenant surtout sur les visites pédagogiques. L'alignement est-il une façon d'éviter la casse ?
Plume : pourtant Lyon II à qui le musée appartient et où j'ai fait mes études ne me semblait pas si militaire. Je m'en souviendrais...
Vaileka : oui, tout ça sur fond blanc uniforme (c'est le cas de le dire!). Quant à Caillard, il a déjà fait une douzaine d'expositions, principalement à Paris.
Karagar : d'où mon désir d'aller voir le reste de l'expo à l'ENS.
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