- Me dirigerais-je vers une forme de sénilité précoce et surtout larmoyante ? Ces jours-ci, ému par des émissions de télévision : la beauté d'Alain Delon jeune (Rocco et ses frères), le tragique d'Annie Girardot ( Mourir d'aimer) et surtout, surtout l'extraordinaire sourire de Maurice Ronet (La Piscine).
- Paradoxe de la langue française : pourquoi dit-on feu pour une personne déjà bien refroidie ?
- De grandes balades à pied en ce moment. Hier, rentré fourbu mais avec ma provision de photos : chaque fois un bonne quarantaine par promenade.
- Je ne supporte plus depuis longtemps les bip-bip d'un électrocardiogramme, maintenant ce sont les vieilles dames en fauteuil roulant pour qui je détourne les yeux.
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3 commentaires:
Feu, dans ce sens, c'est le fatum, le mektoub !
Ce n'est pas le focus !
Je viens de relire le Feu Follet, ce qui me donne l'envie furieuse de revoir le film avec Ronet, justement...
Chroum : il s'agissait juste d'une plaisanterie !
Kranzer : comme lui, tu apparais et tu disparais. Toujours heureux de te (re)lire.
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