Et puis, jeudi soir, avec Frédéric, nous avons commencé à (re)regarder la série de Claude Barma (1972) : Les Rois maudits, d'après Maurice Druon. Je l'avais vue à l'époque et avais été emballé (à l'opposé de ce que j'ai éprouvé devant ce qu'en a fait Josée Dayan en 2005 : c'est comme Bruel chantant Barbara !).
Voilà qui nous annonce de bons moments en compagnie de Jean Piat, Hélène Duc, Louis Seigner, Catherine Rouvel, Geneviève Casile, ou Henri Virlogeux, pour une époque de l'Histoire qui m'a toujours intéressé !
On pourrait en douter aujourd'hui mais, oui, la télévision a été intelligente autrefois !
lundi 29 février 2016
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3 commentaires:
Je ne suis pas aussi dur que toi sur la version de 2005, même si celle de 1972 a une classe au dessus.
Intelligente, oui. Arsène Lupin et les Brigades du Tigre étaient des divertissements de qualité. Nina Companeez réalisait des oeuvres inoubliables, y compris avant les Dames qui révélèrent Fanny Ardant : Le Chef de Famille, Un Ours pas comme les Autres. Je me rappelle aussi, un été, un feuilleton un peu sirupeux avec Marina Vlady : Les Charmes de l'Eté.
A Berlin, je regarde parfois la télévision made in France en streaming. Il m'arrive d'avoir peur de ce que je vois - très peur.
Cornus : je n'ai jamais fini de regarder le premier épisode de la version 2005. Pour moi, beaucoup de chichi et aucun intérêt.
Kranzler : peut-être es-tu trop jeune pour te rappeler aussi Le "Théâtre de la jeunesse" (Claude Santelli) et "La Caméra explore le temps"(Stellio Lorenzi). Quand j'étais en Italie, je me sentais heureux d'avoir une autre télé en France, tant la leur était nulle. Aujourd'hui, c'est la même.
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