Pont Bonaparte (Saône) : en me voyant prendre des photos, une femme m'aborde. Même sentiment de beauté pour ce coucher de soleil.
Place Bellecour : le silence, impressionnant, devant les hommages aux victimes parisiennes.
Pont de la Guillotière (Rhône) : une femme (encore) me parle. Le soleil a disparu. N'en reste que la splendeur du crépuscule.
lundi 16 novembre 2015
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3 commentaires:
Comme quoi, il y a encore des tas de raisons d'espérer de la beauté et de l'humanité.
tu fais dans le haïku maintenant?
Cornus : je suis comme toi : pessimiste par tempérament, optimiste par volonté.
karagar : pas fait exprès mais je prends ça pour un compliment.
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