mardi 1 avril 2014

Tous les bonheurs sont provisoires

Une sorte de chronique douce, parfois amère, de Pascal Sevran, en dehors de son journal. J'y ai retrouvé le même style simple et fluide, et son humour parfois un peu acide : Mes copains de classe voulaient être gendarme ou pompier. Moi, j'envisageais sérieusement d'être trapéziste chez Pinder. Étrange vocation et preuve formelle s'il en est, qu'il ne faut pas céder aux enfants qui veulent aller au cirque avant d'avoir terminé leurs devoirs de français.

Petit livre consacré essentiellement à son prix Roger Nimier, à l'amitié de Dalida et à l’élection de Mitterand à la Présidence avec narration de l'ascension de la roche de Solutré avant et après. Lecture qui fut un bonheur rapide, et sans doute provisoire...
(Pascal Sevran, Tous les bonheurs sont provisoires. Ed. Albin Michel.)

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