vendredi 12 juin 2009

Écartèlement.

Avant qu'il ne sombre totalement et définitivement dans l'oubli, les bribes d'un rêve de cette nuit, sur le matin, que je me rapppelais parfaitement en ouvrant les yeux et qui s'est volatilisé dès que j'ai mis les pieds par terre.

Tout ce qu'il en reste, c'est le souvenir d'avoir été capturé (par qui?), et de m'être fait dénuder et attacher au sol, bras et jambes tendus, dans la position de l'écartèlement, le visage regardant le ciel. Était-ce le début d'un supplice ou d'une grand jouissance? Je n'en sais rien, mais j'étais bien en ouvrant les yeux: pas de sueurs froides, pas de cœur qui bat la chamade. Je crois même que je souriais.

4 commentaires:

[Nicolas] a dit…

C'est bien de se sentir "attaché" (à...)

Calyste a dit…

Je ne sais que répondre là, Nicolas. Oui et non mais il me serait trop compliqué et trop long de développer ici...

Lancelot a dit…

l'enlèvement des Sabines.....

Calyste a dit…

Plutôt le rapt de Ganymède! Je m'y sens plus à l'aise!