lundi 14 mai 2018

Le E n'est plus muet, ou propositions orthographiques calystéennes

Puisqu'il entre de plus en plus dans les mœurs d'écrire professeurE (ou chefFE) au féminin, ce qui, pour moi, est une aberration ( pourquoi ne pas  avoir choisi professeuse ou chève, ce qui aurait l'avantage de simplifier considérablement l'apprentissage de l'orthographe par nos chères têtes blondes ?), je propose donc que le "e" muet final de tous les mots soit réservé au féminin et qu'ainsi l'on écrive : une élève mais un élèv, un poèt, un cadr, un chimist, un artist, etc....

Tant qu'à écrire n'importe quoi.....

3 commentaires:

Cornus a dit…

OK, on n'a qu'à faire ça. Mais on fait comment avec pompier qui ne finit pas par un e ? On enlève le dernier e => pompir ! écrivain => crivain ! Étonnant, non ? (pour faire mon Monsieur Cyclopède)

Unknown a dit…

amusant, on dirait de l'orthographe bretonne... ou presque.

Calyste a dit…

Cornus : trop difficile. Je propose uniquement le "e" final, puisque, comme dit le poète, la femme est la fin, pardon l'avenir, de l'homme....

Karagar : les bretons seraient-ils de purs machos ?