Où il est question d'une éléphante trop grosse pour entrer dans un ascenseur, d'une fillette trop grande pour se libérer d'une faille entre deux immeubles, d'un jeune garçon assez petit pour se glisser sous un automate et qui ne grandira jamais, d'un gardien d'autobus trop gourmand de sucre, d'un chat, d'une colombe, de "Little Alekhine", réplique en bois du célèbre joueur d'échecs russe, et de tant d'autres choses encore.
De la part de Yôko Ogawa, rien ne surprend. D'habitude, j'aime, je savoure même. Cette fois-ci, la sauce n'a pas pris pour moi et cela dès le début. Ce roman regorge de trop de symboles lourdement assénés pour ne pas être indigestes.
(Yôko Ogawa, Le petit Joueur d'échecs. Ed. Actes sud. Trad. de Rose-Marie Makino-Fayolle.)
mercredi 7 octobre 2015
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire