Jean-Bertrand Pontalis est mort en 2013. France-Inter a consacré une série démissions/interviews à cet écrivain-psychanaliste que j'aime particulièrement. Je n'ai malheureusement pas pu les suivre puisqu'elles passaient à l'heure des visites à ma mère. Mais j'étais toujours heureux de trouver, en librairie, un de ses petits livres d'essais que je dévore en une soirée.
Je pensais qu'avec sa mort, la source en était tarie. Aussi quelle surprise de découvrir, l'autre jour, ce dernier (?) opuscule ! Inracontable, comme les autres, formé de petits textes d'une ou deux pages, des sortes de Momentini de grande classe.
(Jean-Bertrand Pontalis, Marée basse, marée haute. Ed. Gallimard.)
lundi 17 novembre 2014
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7 commentaires:
Il faudra que j'essaye un autre livre de l'auteur. Le premier que j'avais (pas complètement) était trop porté sur la psychanalyse.
Cornus : oui, évite les livres de psychanalyse. J'en ai essayé un : pas pu le lire.
Je ne savais pas que c'était autant orienté psychanalyse, sinon je ne l'aurais pas pris à la bibliothèque.
Je suis comme toi. Je l'ai écrit ici sur ce blog il y a quelques années. L'HOMME et l'écrivain me plaisent. Pareil pour de Luca. A une femme qui racontait une histoire de rencontre loupée et qu'elle qualifiait d'acte manqué, notre ami à répondu, rieur, ne serait ce pas plutôt un acte réussi. J'espère que ce petit message pour toi va bien s'imprimer. Je suis loin et dispose seulement d'un petit smart. Pensées vers toi. Anna
Et bien moi je fais encore tout à l'envers on dirait.Je n'ai pendant longtemps connu ses écrits que comme psychanalyste (Laplanche et Pontalis, le "couple" incontournable en fac dans les années 70, donc...ça date !)et quand j'ai mis le nez, grâce à toi, dans ses livres d'écrivains, je me suis un peu ennuyée !
Anna : bien reçu, même de loin. J'espère qu tu va bien et t'embrasse.
Plume : comment est-ce possible ?
Calyste : "vas", bien sûr.
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