mardi 11 novembre 2014

Un pote

Cet après-midi, encore chez moi pour cause de désenflement progressif, j'avais exceptionnellement mis la télé. Pourquoi pas Alexandre le grand de Robert Rossen (1956) ? Carton-pâte des décors, grandiloquence de certains dialogues, tuniques et jambes à l'air. Encore une fois, pourquoi pas ? Mais, au milieu de tout ça, de quoi sourire lorsqu'un soldat perse s'écrie, avec le bel accent parigot de la doublure : "Eh! voilà Darius !" J'ai cru me retrouver dans le café du coin ! Arletty ne devait pas être bien loin !

2 commentaires:

Cornus a dit…

Remarque dans un autre genre, nous avions commencé à regarder il y a quelques années, Marius de Pagnol avec l'accent allemand il me semble. Pari audacieux, mais néanmoins insurmontable.

Calyste a dit…

Cornus : moi, ça a été Laurel et Hardy en italien ! Mais c'était plutôt drôle.