mardi 5 février 2013

Stoner

Je ne suis pas rentré dedans immédiatement. Celle qui me l'avait conseillé, elle, en parlait avec passion. J'avais hésité avant de l'acheter, principalement à cause du nom de la traductrice qui, par ailleurs, ferait bien de réviser l'emploi correct des pronoms personnels). Et puis, peu à peu, je me suis laissé prendre par cette histoire touchante: une vie d'homme dont, longtemps, les livres furent l'unique passion, un fils de paysan qui découvre la magie des mots et en fait son refuge. Et je l'ai refermé avec regret.
(John Williams, Stoner. Ed. J'ai lu. Trad. de Anna Gavalda).

2 commentaires:

plumequivole a dit…

Ah Gavalda, je crois que j'aurais hésité aussi...
Il n'y a pas qu'avec les pronoms personnels qu'elle a des problèmes. (encore qu'avec le "je" et le "moi" elle se débrouille pas mal...)

Calyste a dit…

La Plume: le "moi" est assez bien porté, ces temps-ci, chez nos écrivailleurs...