Petit moment de solitude, là, devant l'écran. Impression fugace, comme un léger frisson sous la caresse d'une brise ressentie par soi seul. Une surprise, sentiment inhabituel. Cela ne va pas durer. Lire les autres ne change rien, et des photos de beaux mecs n'ont jamais suffi.
Le frisson passe avec l'image de la couverture et de soi, étendu, un nouveau livre à la main, dans la lumière atténuée d'une lampe de chevet. J'y vais.
Je vous le disais bien: on n'est jamais seul... Pourtant, que j'aimerais ce soir me serrer dans des bras.
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5 commentaires:
Seuls, nous le sommes tous, et toujours, quelles que soient nos vies.
Ca crée un grand sentiment d'unité.
Bonne nuit. Je t'envoie mon bisou amical, à défauts de bras serrés. Mais ce n'est que partie remise.
;-)
coucou, me revoilou... fini la tranquilité!
bon, n'ai quand même rapporté un ch'ti cadeau de mes vacances....
Quoi??? l'ai pas beau mon zescalier?... hein? t'aurais préferer autre chose à monter?.... ;-)
Le savoir ne change rien au ressenti, Lancelot. Merci pour le bisou.
Heureux de te revoir, Piergil! Il est superbe, ton escalier! Mais l'as-tu bien descendu?
"Le savoir ne change rien"
Ô combien vrai et parfois lourd à porter.
Mais l'amitié même lointaine est comme un grand manteau. Le froid de l'hiver est toujours là, mais sous le manteau on a un peu plus chaud quand même, non ?
Je te l'accorde, KarregWenn, d'autant plus volontiers que ce soir, ce petit coup de spleen est passé. Je garde l'amitié, bien sûr!
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