Vu hier le film de David Lean, Lawrence d'Arabie (1963), avec Peter O'Tool, Omar Sharif, Alec Guinness, Anthony Queen, Claude Rains, entre autres. Bizarrement, bien que connaissant la musique (de Maurice Jarre), je n'avais jamais vu le film en entier (presque quatre heures).
Bien sûr, Peter O'Tool n'est pas mal, mais quel choc de revoir Omar Sharif jeune : une beauté époustouflante !
mardi 5 novembre 2019
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12 commentaires:
Oui bien sûr, des beaux mecs, des paysages superbes... mais qu'est-ce que c'est long... j'ai abandonné.
Bleck
Bleck : le fin est moins intéressante à mon avis car située dans les villes (Le Caire et Damas). Il n'y a plus d'images magnifiques du désert.
J'ai regarder la première heure et demi... je ne suis pas sûr non plus de l'avoir vu en entier un jour. J'ai beaucoup aimé revoir un peu.
On ne dira jamais assez ce, qu'au cinéma, l'image doit à la musique...
Cornus : Dommage que tu n'aies pas persévérer !
Charlus : quelle surprise ! Le Charlus d'il y a quelques années ! Le même ? Cela me fait très plaisir et, pour la musique, je suis bien d'accord avec toi.
Calyste> Je n'ai pas persévéré parce que ça finissait trop tard et que le lendemain, il y avait "école" ! :-)
Le même Charlus avec quelques années de plus, 4 ans au paradis thaïlandais, et aujourd'hui dans la tourmente révolutionnaire du Liban
Charlus : ainsi es-tu réapparu dans la liste des blogs que je lis. En Thaïlande et maintenant au Liban ? Mais que fais-tu là-bas ?
J'ai suivi un libanais et l'amour. Je vis à Tripoli Pour le libanais j'ai eu raison...Pour le reste, le Liban n'est plus ce qu'il était...J'ai été ''La chatelaine du Liban'' Pas impossible que je devienne bientôt ''Maria Chapdelaine''
Je suis allé au Liban peu de temps après la fin de la guerre, à Beyrouth principalement mais aussi à Tripoli où je n'ai que deux souvenirs : le château Saint-Gilles et les innombrables barrages routiers, tantôt de l'armée libanaise, tantôt de l'armée syrienne.
L'armée syrienne a heureusement disparu, mais la Syrie reste très présente via le Hezbollah dans la politique libanaise. Le liban est un pays magnifique mais le confessionnalisme, le népotisme, l'incompétence de la classe politique, la corruption effrénée conduisent le pays à la ruine. La révolution en cours pourra-t-elle changer les choses? Inch'Allah...
Si tu veux en savoir un peu plus sur ma vie ici ma page facebook ''palamède charlus''
Charlus : je ne suis malheureusement pas sur Facebook.
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