Me voici de retour depuis samedi soir : une semaine donc en Bourgogne du nord, principalement dans le Morvan, dans l'Yonne avec quelques incursions dans la Nièvre et la Côte d'or. Encore une fois, beaucoup de sites visités, mais beaucoup proches du gîte et quelques moments de repos dans le coin perdu où nous logions.
Pour ma part, je découvrais le Morvan, région surprenante par la variété de ses paysages et la richesse de son patrimoine artistique, abbayes et châteaux principalement. Mais région pauvre également au niveau de l'emploi, impression confirmée par notre logeuse. L'industrie principale semble être le bois. Certains villages se désertifient (que de maisons splendides à vendre, en prévoyant quelques rénovations !), en particulier le hameau du gîte où, il y a à peine trente ans, toutes les maisons étaient habitées et où, aujourd'hui, seulement quatre ou cinq sont encore occupées.
Globalement peu de monde dans les sites visités, ce qui n'était pas pour nous déplaire. Quant au temps, très chaud au début, les deux derniers jours assez froids avec du crachin le matin mais à aucun moment la pluie ne nous a gênés pour nos visites. Les restaurants ? Je reste toujours sidéré par la différence de prix par rapport à Lyon, sauf celui près du gîte où, selon notre logeur, il faut prévoir un "certain budget". Après avoir regardé leurs menus, j'aurais plutôt dit un budget certain.
lundi 27 août 2018
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4 commentaires:
région inconnue et bien tentante
Je connais moins bien le Morvan du Nord, mais très bien celui du sud. J'espère donc des surprises...
Le Morvan, après avoir connu un mieux il y a 35-40 ans en termes de fréquentation, se vide depuis assez désespérément. Je ne sais pas jusqu'où cela va aller, c'est impensable. Autun, qui est pourtant la "grande ville" du sud et qui aurait pu être moins touchée, a quand même perdu 1/3 de sa population depuis le milieu des années 1970. Les villes et les campagnes de la côte bourguignonne, plus à l'est s'en tirent bien mieux.
Je veux bien acheter une de celles aux volets fermés, faut juste me la transporter près de la mer. Comment ça, je suis exigeante ?
Karagar : à découvrir, en effet.
Cornus : il faudra que je retourne à Autun. Il y a déjà quelques années que je n'y suis pas allé.
Plume : la première aux volets fermés est dans un état alarmant mais se trouve près d'un vieux lavoir romantique. Faute de mer....
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