jeudi 26 avril 2018

Musique et cinéma



Rivière sans retour, de Otto Preminger (1954), avec Marilyn Monroe et Robert Mitchum. Là, tout est réuni de ce que j'aime : les portes de saloon qui battent, les chapeaux poussiéreux que l'on perce d'une balle ou que l'on jette en l'air, de joie, les chevaux affolés, les feus que l'on fait dans la nuit et autour desquels on se couche, les paysages de désert magnifiques, les hommes sensibles de la gâchette mais au cœur tendre, les femmes qui se sacrifient, soit dans leur foyer, soit dans les chambres des saloons, toujours fortes, et la musique, toujours expressive, qui suit l'action, sans surprise.

 Des clichés, bien sûr, où les méchants restent méchants, où les justiciers arrivent toujours à leurs fins. Enfant, je n'ai jamais lu de bandes dessinées. Les westerns m'en ont tenu lieu, et je les aime toujours.

3 commentaires:

Cornus a dit…

J'ai vu ce film quand j'étais gamin, mais je ne m'en souviens plus du tout, à part vaguement la descente de la rivière.

Cornus a dit…

Et tu le sais, je suis aussi un amateur de westerns. Et tant mieux s'ils sont manichéens et caricaturaux !

Calyste a dit…

Cornus : je savais, bien sûr, que tu serais sensible à ce genre de vidéos.