Je pensais qu'après Saramago, j'aurais du mal à entrer dans le roman suivant. C'était compter sans Mendoza et son "polar" truculent comme le présente la quatrième de couverture. Excellente transition vers quelque chose de peut-être plus sérieux parce que léger, intéressant et surtout très, très drôle !
Résumer l'intrigue, totalement loufoque, me serait difficile. Et puis, l'essentiel n'est pas là mais dans la joie et la légèreté que l'auteur nous fait partager (malgré une conclusion un peu décevante). A noter qu'il s'agit du même auteur que pour La Cité des prodiges, lu récemment et qui m'avait beaucoup plu bien que totalement différent.
(Eduardo Mendoza, Le Labyrinthe aux olives. Ed. du Seuil. Trad. de Françoise Rosset.)
lundi 2 avril 2018
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