Vendredi soir, nous avons fêté chez Jean-Claude et avec un peu d'avance son anniversaire et celui de Frédéric. J'avais apporté avec moi toute la doc. sur notre voyage estival en Bourgogne.
Au moment du départ, après une soirée très festive, arrivé sur le parking, je me rends compte que j'ai oublié sur la table le cartable de la doc. Je remonte donc.
Puis, je ramène Pierre à domicile et ma sœur chez elle. Une fois arrivée, elle s'aperçoit qu'elle a laissé son sac à main chez Jean-Claude. Demi-tour pour retraverser tout Lyon après un coup de fil à J-C qui dormait déjà.
Même itinéraire de retour jusqu'à chez ma sœur. En repartant pour rentrer (enfin !) chez moi, j'aperçois au loin des gyrophares dans une rue étroite que je ne peux éviter. C'est un camion de pompiers qui bloque tout suite à l'accident d'une voiture encastrée dans une autre ! Je me rends vite compte que ça va durer longtemps. Seule chance de la soirée : j'arrive, à force de manœuvres diverses et variée, à faire demi-tour. Parti à une heure de chez Jean-Claude, j'ouvre enfin ma porte à trois, tout heureux d'y être parvenu !
Et j'apprends le lendemain que la mère de Frédéric a cru qu'elle avait oublié son téléphone portable, qu'elle fini par retrouver au fond de son sac. Mais Frédéric avait, lui, bel et bien oublié son paquet de cigarettes.
Il y a des soirs comme ça !
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3 commentaires:
Chaque oubli a sa raison d'être !
Diantre, une sacrée succession d'oublis. C'est la Bourgogne ou le Bourgogne qui veut ça ?
Chroum : alors, ce soir-là, toutes les raisons d'être s'étaient données rendez-vous.
Cornus : pas ce soir-là. C'était Côtes du Rhône.
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